26/09/2025 | 20h
Lyon
Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon
Programme
Robert Pascal :
- – Sinfonia di paradiso pour choeur de femmes (1991). Choeur Spirito, Jeune Choeur Symphonique, direction Nicole Corti
- – Par une main éparpillées (1997). Thierry Ravassard, piano
- – 3 poésies d’Outre-mer (2011). Thierry Ravassard, piano, Maximin Marchand, récitant.
- – Quasi canto pour percussions et support (2009). Po-Sheng CHEN, percussions
Raffi Ourgandjian :
- Reflets (2017). Anne Delafosse, soprano, Françoise Ducos, flûte en Sol
- Robert Pascal
sur Bleus (2005). Michèle Scharapan, piano - Les terres fertiles quatrième quatuor à cordes (2017). Quatuor Bela
Distribution :
Choeur Spirito, Jeune Choeur Symphonique, direction Nicole Corti
Thierry Ravassard, piano
Maximin Marchand, récitant
Po-Sheng CHEN, percussions
Anne Delafosse, soprano, Françoise Ducos, flûte en Sol
Michèle Scharapan, piano
Le Quatuor Béla :
Constance Ronzatti et Frédéric Aurier, violons
Paul-Julian Quillier, alto
Alexa Ciciretti, violoncelle
À l’initiative d’un collectif de professeurs et d’anciens professeurs, un hommage sera rendu à Robert Pascal, compositeur sincère et pédagogue passionné, dans l’établissement où il a enseigné pendant près de trente ans. Ce moment de partage réunira autour de ses œuvres musicales un public composé d’amis, d’anciens collègues, de professeurs actuels, d’anciens étudiants, ainsi que d’interprètes — certains ayant même commandé et créé ses œuvres. Ce sera l’occasion de faire (re)découvrir sa musique au public lyonnais ainsi qu’aux étudiants d’aujourd’hui.
Au-delà de la musique, cet hommage se veut aussi un témoignage vivant de l’homme : plusieurs musiciens ayant côtoyé Robert Pascal prendront la parole pour évoquer sa personnalité, son influence, et sa vision artistique.
Enfin, pour souligner l’ouverture d’esprit et la curiosité artistique qui le caractérisaient, Denis Fargeton — ancien étudiant en composition et proche du compositeur — proposera une performance de jonglage, clin d’œil original et sensible à ce que Robert Pascal aurait sans aucun doute accueilli avec enthousiasme.