Presse écrite
« On admire la plénitude sonore et l’équilibre polyphonique qui règnent au sein du Quatuor Béla … »
Michèle Tosi, Resmusica, août 2015
« Aeon’s audio is excellent. In fact, in engineering terms it arguably beats all competition. (…). In purely musical terms, the Quatuor Béla’s Ligeti ranks with the best – and perhaps even higher. »
Music Web International, January 2014
« (…) joyeusement tournés vers leur époque, impressionnants dans des répertoires inattendus, ouverts à des formes musicales peu orthodoxes. A suivre de près, ils offrent chaque fois des moments de musique rares, singuliers, déroutants, forçant le respect de toute la profession et hypnotisant un public toujours plus demandeur. »
Pascale Clavel, Le Petit Bulletin, Novembre 2013.
« L’excellent Quatuor Béla »
Marie-Aude Roux, Le Monde, Juillet 2013.
« Les excellents musiciens du Quatuor Béla, brillants dans de nombreux répertoires, ouverts à des aventures musicales multiples, réussissent avec talent à y intéresser tous les publics, à faire changer l’écoute et la façon d’appréhender la musique, à mettre simplement la musique contemporaine à la portée de tous. »
Maryse Franck, Cité de la Musique, Janvier 2012.
« Energie et virtuosité ! »
Ouest France, Septembre 2010.
« Le Quatuor Béla est une jeune formation pratiquant le répertoire pour quatuor à cordes des Xxème et XXIème siècles avec un engagement et une exigence rares. Mais c’est aussi une association d’instrumentistes extrêmement curieux de croiser leur expérience avec d’autres musiciens provenant de territoires musicaux singuliers, qu’ils viennent du rock, du jazz, de la musique improvisée ou de l’univers des musiques traditionnelles. »
Arnaud Petit, compositeur, Septembre 2010.
« (…) ces programmes que les musiciens du Quatuor Béla aiment à composer – soucieux avant tout de proposer une autre manière d’aborder les concerts « classiques », à la fois sensible et cohérente, concentrée et décomplexée, soigneusement mise en scène bien que débarrassée de tout décorum susceptible de parasiter l’écoute. »
David Sanson, Questions d’Artistes, Novembre 2010. »
« Il già rinomato « Quartetto Bela », creato nel 2006 da laureati dei CNSM di Parigi e di Lione, Julien Dieudegard e Frédéric Aurier, violini, Julien Boutin, viola, e Luc
Dedreuil, violoncello, che mandavano subito in visibilio gli ascoltatori con la travolgente interpretazione di un capolavoro, il « Quartetto in sol minore op.10 » di Claude Debussy. Che calore, che generosità nel suono, quale impegno, quanta bravura nelle ardue frasi richiedenti virtuosità, nell’interpretare questa ammirevole opera dedicata al grande Ysaye»
Daniel Passalacqua, Il Corriere di Tunisi, nov 2016
« The Béla Quartet has put enormous effort into these performances of Ligeti‘s string quartets, and the virtuoso performances are as fresh and vital as they are compelling. »
Blair Sanderson, All Music.com, January 2014 (about the Ligeti release)
« The abandon with which the Bélas dig into their strings at the beginning of the First Quartet – just listen to them go ! – tells us we’re in for gutsy, soulful playing. »
Phillip Clark, Gramophone, March 2014
« Panache, technique transcendante, puissance et agilité de fauves ! »
Jacques Duffourg, Appogiature, Août 2013.
« Di grande impatto, il concerto del giovane Quartetto Béla, tenuto nel Camp des Milles, un campo di concentramento in funzione dal 1939 al 1944 che segnava la via verso i luoghi di sterminio. Ha eseguito i cinque pezzi per quartetto di Erwin Schuloff, morto di stenti a Wülzburg, il quartetto n. 3 di Bartók e il primo quartetto di Ligeti, di cui nel bis hanno ripreso il terzo movimento del secondo quartetto. Sala piena e pubblico molto commosso. »
Giuseppe Pennisi, Artribune.com, Juillet 2013.
« Ce quatuor français, fondé en 2006, composé de Frédéric Aurier et Julien Dieudegard aux violons, de Julian Boutin à l’alto et de Luc Dedreuil au violoncelle, en impose dès les premières notes par la pureté des sonorités, la profondeur de l’interprétation et la finesse du détail. Ils restituent à la perfection la sourde et tragique angoisse de Bartók. Ils se jouent avec virtuosité et une intelligence pénétrante des acrobaties millimétrées de Ligeti, sans jamais perdre de vue l’émotion. La cohésion de l’ensemble, leur capacité à sculpter des sons à la limite de l’audible (on pense à ce mouvement tout en pizzicati du deuxième quatuor de Ligeti offert en bis) fait des « Béla » l’une des toutes premières formations chambristes françaises. »
Patrick de Maria, La Marseillaise, Juillet 2013.
« Le Quatuor Béla a cette grâce, ce « je ne sais quoi » dont parle Jankélévitch, cette chose irréductible, qu’on ne peut accaparer, ni imiter, dans la distinction sonore, le délié du jeu, la clarté du propos. Certes, il y a la technique, la virtuosité, ce qui n’est plus une rareté. Les jeunes musiciens français ont aujourd’hui un niveau technique souvent époustouflant. Là, devant, il y a la musicalité. Ces gens-là ne draguent pas, ils aiment. »
Jean-Marc Warszawski, Musicologie.org, Mai 2009.
« le Quatuor Béla, une jeune formation lyonnaise qui se plait à cultiver une approche panoramique de la musique : en témoignent par exemple ses collaborations avec Albert Marcoeur mais aussi la manière à la fois décomplexée et éminemment sensible dont il aborde le répertoire savant contemporain. »
David Sanson, Mouvement, Mai 2009.
« Named for the century’s greatest Hungarian, Bela Bartok, Quatuor Bela was formed specifically to play this music and the bleak, spartan intensity of their reading is completely convincing. Where the Casals Quartet smooth off the rough edges and angularities, Quatuor Bela hone them to razor sharpness. (…) For those with a particular interest in this music, these carefully researched and heartfelt performances will have special appeal.(…) »
A. F. Audiophilia.com (about the Ligeti release)
« L’un des quatuors à cordes français les plus réjouissants »
Festival Why Note, Novembre 2008.