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Les Fantômes de la Villa Médicis – Chronique sur DiapasonLes Fantômes de la Villa Médicis – Chronique sur DiapasonLes Fantômes de la Villa Médicis – Chronique sur Diapason
Festival Controtempo : la Villa Médicis fête Georges Aperghis Les musiciens du quatuor Béla livrent un concert comme on voudrait en entendre souvent. Leur programme, d'environ une heure, est homogène sans être univoque, défendu avec un engagement et une présence...
Les Fantômes – Controtempo, Journal de bord – Quatrième journéeLes Fantômes – Controtempo, Journal de bord – Quatrième journéeLes Fantômes – Controtempo, Journal de bord – Quatrième journée
Les fantômes sont nombreux, à Rome — voilà des millénaires qu’ils s’y accumulent. À la Villa Médicis, qu’ils envahissent volontiers (on y croise quotidiennement Debussy, Berlioz, Balthus, Grisey et bien d’autres), ils ont profité de ce quatrième concert du Festival...
Parler longuement de fantômes : chronique
"(...) Étonnant par le titre et par le style, Parler longuement de fantômes de Jérôme Combier illumine cette fin de première partie. On connaissait le talent du compositeur d'Austerlitz à créer un univers singulier où l'épaisseur et la variété de la matière sonore...
[:fr] »Marcoeur aime beaucoup Deerhoof mais n’a pas de téléphone portable »[:]
[:fr] Albert Marcœur, interviewé par la revue The Drone : inénarrable, inaltérable, indispensable Albert ... "(...) Snobé dans son propre pays, cet artisan de génie élabore un jazz-rock complexe (“pop-trad-new age”, comme il dit), aussi bien en terme de progressions...